🦨 Affiche Film 2001 L Odyssée De L Espace

En1968, sortait le film qui allait bouleverser le monde de la science-fiction. Désormais, il y aurait un 'avant' et un après 2001, L'Odyssée de L'Espace. Ce chef-d'oeuvre échappe d'ailleurs totalement au temps qui passe Téléchargercette image : L'affiche de film, 2001 : l'odyssée de l'espace, 1968 - 2BHDRT2 depuis la bibliothèque d’Alamy parmi des millions de photos, illustrations et vecteurs en haute résolution. 200idées de 2001 L'odyssée de l'espace en 2021 | odyssée, affiche film, affiche cinéma 2001 L'odyssée de l'espace 206 Épingles 24 sem C Collection de Charles Édouard Idées similaires populaires actuellement Film Stanley Kubrick Stanley Kubrick Créations Sur Le Thème De L'espace Vaisseaux Star Trek Plans De Terrasse Perdu Dans L'espace tgbhujkAstronaute Film 2001 Une Affiche De L'odyssée De l'espace Et des Peintures Peinture Mur Toile Mur Photos pour Salon Home Decor 42 * 60 cm sans Encadré : Amazon.fr: Cuisine et Maison . Choisir vos préférences en matière de cookies. Nous utilisons des cookies et des outils similaires qui sont nécessaires pour vous permettre tgbhujkAstronaute Film 2001 Une Affiche De L'odyssée De l'espace Et des Peintures Peinture Mur Toile Mur Photos pour Salon Home Decor 42 * 60 cm sans Encadré : Amazon.fr: Cuisine et Maison Afficheoriginale française du film de Stanley Kubrick 2001: l'odyssée de l'espace de 1968, par Robert T. McCal, édition CINERAMA-Posterissim. Produit ajouté au panier avec succès Il y a 0 produits dans votre panier. Il y a 1 produit dans votre panier. Quantité. Total. Continuer Commander € $ € CHF £ Appelez-nous : +32 (0)498 20 40 80 Achat - vente d’affiches kRQr. Article sur France info il est interdit de rire L’événement est d’importance à Cannes, puisque "2001 l'Odyssée de l'espace" est projeté dans son format originel, non pas en numérique, mais en pellicule 70 mm, tel qu’il a été tourné, soit le double du format standard, 35 mm. Il sera distribué en France sous cette forme à partir du 13 juin. Cette restauration s’est opérée à l’initiative de Christopher Nolan "The Dark Knight", "Interstellar", "Dunkerque", cinéaste kubrickien s’il en est. L’idéal aurait été de projeter "2001" selon le procédé Cinérama pour lequel il fut conçu, mais aujourd’hui disparu, car trop lourd, supposant une projection simultanée de trois projecteurs pour reconstituer une seule et même image à l’écran. Avant "2001", seuls deux films en ont bénéficié "La Conquête de l’Ouest" et "Un monde fou, fou, fou". Quand je lis ça, je me dis que si toutes les infos sont comme ça, ça craint ! Non seulement il dit des conneries, mais en plus il se contredit "en pellicule 70 mm, tel qu’il a été tourné" OK mais "L’idéal aurait été de projeter "2001" selon le procédé Cinérama pour lequel il fut conçu, mais aujourd’hui disparu, car trop lourd, supposant une projection simultanée de trois projecteurs pour reconstituer une seule et même image à l’écran." Comment est née l'idée de célébrer le 50e anniversaire de la sortie de 2001 au travers d'une copie neuve en 70 mm ? À l'automne 2017, Christopher Nolan et moi étions au travail dans le même laboratoire. Tandis qu’il planchait sur la remasterisation de sa filmographie au format 4K Ultra HD, j’étais à l’œuvre sur la numérisation 4K Ultra HD de 2001. Je lui ai demandé s'il souhaitait voir une copie que nous avions faite imprimer en 1999 dans le cadre d'un projet de conservation du long métrage. Après l’avoir visionnée, il s’est tourné vers Warner Bros pour suggérer que soit tirée une nouvelle copie en 70 mm du film. Avec l’idée était de recréer, pour le 50e anniversaire de sa sortie, l'expérience originale proposée en salle aux spectateurs en 1968. Nous avons donc choisi de travailler sur le négatif original. Dans quel état se trouvait-il ? Le négatif original et la bande-son du film sont conservés dans les archives de la Warner Bros, au studio de Burbank, à Los Angeles. La pellicule est en bon état pour son âge. Elle souffre d’une légère décoloration que nous avons heureusement pu corriger lors de l’impression. Elle a également légèrement rétréci car elle a perdu en humidité à travers les années en raison de son vieillissement naturel. Ce rétrécissement a légèrement déformé le négatif, qui s’est évasé au centre. Nous l’avons manipulé avec beaucoup de soin car le rétrécissement en question pouvait entraîner la séparation des collures du film. Le négatif est déchiré à quatre endroits. Sur quels aspects s'est concentré votre travail ? Nous avons décidé de laisser les cadres déchirés intacts et visibles dans les nouvelles impressions en 70 mm plutôt que de tromper le spectateur en insérant une section réparée numériquement, qui serait de qualité inférieure à la section originale endommagée du négatif. Et la bande sonore ? La bande sonore originale en 35 mm a été altérée par le syndrome du vinaigre », au point d’être inaudible. Nous avons donc rétabli l'audio à l’aide d'un élément de protection des bandes en 35 mm fabriqué dans les années 1980. L'impression en 70 mm a été réalisée à partir de la bande originale de 1968 à 6 canaux. Il y avait 5 haut-parleurs derrière l'écran et un canal surround mono. La conception originale du son stéréo et l'imagerie n’ont pas été modifiée. Aucun filtrage numérique ni corrections n'ont été apportées à la bande-son. Le son à 6 canaux sera lu à partir du disque DTS. À l'époque, la projection était coupée en deux, avec une pause de 15 minutes après 70 minutes de film. Pourquoi ? L’entracte était typique à l'époque pour un film de cette longueur. Je ne sais si Kubrick avait conçu 2001 en y incluant une pause, mais je pense qu’elle peut permettre au spectateur de réfléchir et d’aborder la seconde partie du film avec une perspective différente. Combien de personnes ont participé au projet et pendant combien de temps ? Les travaux de conservations menés en 1999 ont duré environ six mois. La création des négatifs intermédiaires 65 mm et de la copie 70 mm a duré environ quatre mois. Les deux projets combinés ont mobilisé plus de 50 personnes. Avez-vous dû faire appel à du personnel spécialisé pour mener le projet à son terme ? Nous avons eu la chance de travailler avec les laboratoires FotoKem pour créer la copie en 70mm. FotoKem continue d'imprimer et de traiter des films en 70 mm. Il dispose d'un personnel exceptionnel, dont Vince Roth, qui a préparé le négatif pour l'impression, Kristen Zimmermann, qui s’est chargée de l’étalonnage de la pellicule et Andrew Oran, qui a dirigé la production. Pourquoi n'avez-vous pas restauré l'image du film ? Je crois que le terme restauration » est utilisé à tort car la plupart des laboratoires chargés des restaurations altèrent en général l’apparence des films - et parfois même leurs contenus - plutôt que de simplement leur rendre leur état d'origine. Le terme "non restauré" est plus adapté ici, même s’il est controversé. Mais il signifie que vous visionnez quelque chose de pur et d’inchangé. Quel rapport entretenez-vous avec le film ? Ce film m'a suivi toute ma vie. Il est pour moi comme une sorte de jalon kilométrique. J'ai séché l’école en 1972, à l'âge de 12 ans, pour pouvoir visionner une copie 70 mm de 2001 dans un cinéma Cinerama. Ce film m’a terrifié, mais l’expérience m'a convaincu que je devais travailler dans l’industrie du cinéma. En 1998, je me suis assis dans un laboratoire cinématographique de film pour travailler sur la synchronisation couleur à partir du négatif original. En 2018, j'ai visionné la copie en 70 mm qui sera présenté en avant-première à Cannes. Je crois que ce film évolue à chaque visionnage, car j’y projette à chaque fois un nouveau vécu personnel. Une présentation de Warner Bros. Copie 70mm tirée à partir d’éléments du négatif original. Il s’agit d’une recréation photochimique fidèle qui n’a fait l’objet d’aucune retouche numérique, effet remasterisé ni modification de montage. Présenté par le réalisateur Christopher Nolan, le film sera projeté en salle Debussy, avec entracte de 15mn, dans l’exacte reproduction de l’expérience vécue par les spectateurs lors de la sortie du film au printemps 1968. En présence également de la fille de Stanley Kubrick, Katharina Kubrick, et de son coproducteur Jan Harlan. Affiche 30 x 40 de chez Lino la tomate. Affiche film par Lino la Tomate ! L’affiche du film entièrement revisitée et inédite. Illustration originale 100% vectorielle pour une qualité d’impression optimale, même en très grand format. • HD Poster Affiche haute-définition impression HD FINE ART sur PAPIER EXTRA MAT 200g avec encres écologiques UltraChrome EPSON. Spécial Stanley Kubrick Dans sa première partie, 2001, l’odyssée de l’espace 1968 présente la naissance de l’Homme ; celui-ci, via l’enseignement ou le simple contact du monolithe, se distingue en ce qu’il intègre la violence, celle-ci étant tout à la fois instinct de destruction et capacité à se défendre. Pour autant, la réflexion sur l’Homme en tant qu’être substantiellement violent n’est qu’effleurée dans 2001, l’odyssée de l’espace – et ce bien que les débordements de l’ordinateur HAL, dans la troisième partie, reviennent, à nouveau, sur ce thème – et il faudra attendre Orange mécanique 1971 pour que Kubrick la développe vraiment[1]. La principale idée à retenir de la longue introduction me semble donc être la suivante l’Homme est né, il y a 400 000 ans, et cela constituait la nouvelle étape d’un développement dont le plan d’ensemble nous reste inconnu. L’élément important est que, un très long temps s’étant écoulé, une nouvelle étape est désormais envisageable. Cette impression de temps qui passe est d’ailleurs très marquée car de nombreux indicateurs temporels sont présents tout au long du film. C’est le cas dès le titre, 2001, l’odyssée de l’espace, 2001 étant une date très symbolique – surtout en 1968 – qui sonne comme un nouveau départ – et ne représente pas, comme 2000, une fin. Figurent également au début de chaque partie du film des indications temporelles écrites L’aube de l’humanité ; 400000 ans après ; 18 mois après ; et au-delà de l’infini[2]. De plus, dans les dialogues entre la Terre et vaisseaux spatiaux dans lesquels par, deux fois, on assiste à des fêtes d’anniversaire – d’abord celui de la fille Vivian Kubrick du professeur Floyd William Sylvester puis celui de Frank Poole Gary Lockwood. Enfin, dans la dernière partie, Dave Bowman, avant sa transformation, se voit vieillir. 2001, l’odyssée de l’espace, peut ainsi se voir – à partir de la seconde partie – comme l’histoire de la gestation qui va prendre dix-huit mois soit le double des neuf mois nécessaires à la naissance d’un nouvel être humain de ce nouvel être, créé, avec le concours du monolithe, à partir de l’Homme[3]. Ce sentiment est renforcé tant par la première séquence de la seconde partie qui, autour de la valse des vaisseaux spatiaux sur Le beau Danube bleu de Johann Strauss, figure nettement une fécondation que par l’image finale qui montre un immense fœtus. L’élément déroutant vient du fait que Stanley Kubrick ne cherche pas du tout à caractériser la seconde transformation – bien que l’on comprenne que le nouvel Homme ne sera plus lié ou soumis à la Terre – au contraire de la première où chacun comprenait que ce qui transformait l’Homme en singe était l’apprentissage – ou l’incrémentation – de la violence. Je pense toutefois qu’introduire cette idée de la violence dans la première partie ne cherche pas tant à montrer ce qu’est l’Homme[4] mais plutôt que c’est l’Homme qui a été créé après la première intervention du monolithe. On sait donc – du point de vue de la narration – que le monolithe, par une action dont la nature nous reste inconnue[5], peut permettre de tels changements. Si on accepte ce point de départ, les difficultés d’interprétation du film ne résident pas – comme on le dit souvent – dans sa seule fin mais dans la globalité de l’œuvre qu’il faut envisager comme un tout cohérent. En effet, la conception de l’histoire de l’humanité est très éloignée de nos schémas de pensée classiques. Le film de Stanley Kubrick est en rupture tant avec les pensées monothéistes dans lesquelles l’Homme est une créature directement liée à Dieu donc quasi-parfaite et qu’il ne saurait être question de modifier qu’avec les théories évolutionnistes pour lesquelles un changement brusque n’est pas envisageable. Par contre, il fait explicitement référence au philosophe allemand Friedrich Nietzsche 1844-1900 aux deux moments où le monolithe agit. Dans chacune de ces deux occasions retentit l’ouverture du Ainsi parlait Zarathoustra de Richard Strauss 1864-1949. Or, ce poème symphonique, datant de 1896, a été composé en hommage au livre éponyme de Friedrich Nietzsche [6]daté de 1883-1885. Pour ce dernier, la représentation du temps est tout-à-fait conforme à ce qu’elle est dans 2001, l’odyssée de l’espace. Ce film, en fait, reprend le concept de l’Eternel retour dans lequel le temps est conçu comme une succession de cycles sélectifs[7]. Ainsi correspond à chaque fin de cycle une rupture provoquée amenant à un être plus puissant. Cet élément de volonté[8] est présent dans 2001, l’odyssée de l’espace puisque les hommes en général – et Dave Bowman Keir Dullea en particulier – cherchent à repousser leurs limites en dominant l’espace malgré leur inadaptation naturelle à celui-ci. Friedrich Nietzsche Un autre concept nietzschéen est transposable à 2001, l’odyssée de l’espace celui du Surhomme. Il s’agit ici de ce en quoi se transforme l’Homme à la fin du cycle lui correspondant c’est-à-dire, dans 2001, l’odyssée de l’espace, le fœtus géant qui succède à Dave Bowman. Si, contrairement à celui annoncé par Zarathoustra, le Surhomme kubrickien n’est pas lié à une culture immensément développée, il s’agit bien, comme chez Friedrich Nietzsche, d’une rupture franche avec l’Homme et non d’un homme ayant développé au maximum ses capacités. D’ailleurs, le film montre, par opposition au Surhomme, l’échec de l’Homme optimal, d’une certaine manière figuré par le super-ordinateur HAL[9]. Enfin, un autre rapport, d’approche celui-ci, existe entre les œuvres de Friedrich Nietzsche et de Stanley Kubrick. Le philosophe allemand avait ainsi sous-titré Ainsi parlait Zarathoustra, un livre pour tous et pour personne. Or la volonté de Kubrick d’avoir réalisé, avec 2001, l’odyssée de l’espace, un film destiné au plus grand nombre mais qui garde sa part de mystère semble évidente. On pourrait tout-à-fait le sous-titrer, un film pour tous et pour personne… Appendice 2001, l’odyssée de l’espace et Orange mécanique, tournés à trois ans d’intervalle, sont deux films unis par une sorte de gémellité. Il y a bien sûr ces thèmes communs à l’ensemble de l’œuvre de Stanley Kubrick comme la violence constitutive de la nature humaine ou l’échec du programme parfait HAL, Ludovico. De même, l’utilisation de la musique classique pour accompagner, voire souligner, la narration existe dans les deux films. Enfin, ces deux œuvres sont, l’une et l’autre, divisées en blocs faisant apparaître clairement les différentes parties du film. Au-delà de ces éléments – qui ne sont donc pas propres à ces deux seuls films dans l’œuvre de Kubrick – on peut également remarquer que ces deux films sont explicitement liés par deux points précis. Tout d’abord – mais s’il n’y avait que cela, on n’irait guère au-delà de l’autocitation –, dans Orange mécanique, Alex Malcolm McDowell croise, lors de son passage dans un magasin de musique, la bande originale de 2001, l’odyssée de l’espace. Ensuite, et plus profondément, le regard face-caméra d’Alex qui ouvre Orange mécanique semble répondre à celui du fœtus humain qui ferme 2001, l’odyssée de l’espace. On peut toutefois aller encore plus loin dans le rapprochement entre les deux films. En effet, la séquence d’ouverture de 2001, l’odyssée de l’espace offre, comme nous l’avons plus haut, deux éléments au spectateur. D’une part, l’Homme est caractérisé en tant qu’Homme par l’incrémentation de la violence. D’autre part, l’évolution se fait par ces ruptures successives que sont les interventions du monolithe. On l’a vu, le second point est développé dans la suite du film. Mais, d’une certaine façon, le premier l’est, lui, dans Orange mécanique où l’on voit l’Homme arrivé au bout de son évolution – dont Alex semble alors l’archétype – ayant développé tout son potentiel de violence dans une époque qui se situe dans un futur proche – donc aux alentours de 2001. Ainsi, on peut considérer que l’introduction de 2001, l’odyssée de l’espace pourrait également être celle d’Orange mécanique. Or, le concept nietzschéen d’Eternel retour permet de concilier la temporalité avec la succession de cycles du temps et l’éternité à l’intérieur d’un même cycle. Ainsi, 2001, l’odyssée de l’espace et Orange mécanique peuvent apparaître comme les deux faces d’une seule et même pièce ce que, pour finir, l’on pourrait résumer par le tableau synthétique suivant 2001, l’odyssée de l’espace Orange mécanique Temporalité Eternité Abondance d’indicateurs temporels Absence d’indicateurs temporels on est vers 2001 Volonté de dépassement ou de puissance incarnée par Dave Bowman Stagnation dans l’état Homme violence incarnée par Alex Malcolm Mc Dowell dans Orange Mécanique Ran [1] Ainsi Alex peut, dans ce film, apparaître comme l’archétype de l’homme dont les singes de 2001, l’odyssée de l’espace n’étaient que les prototypes. Par ailleurs, l’idée que la violence est constitutive de la nature humaine est récurrente chez Stanley Kubrick. J’y reviens largement dans mon texte sur Full metal jacket 1987. [2] On voit ici qu’indicateurs temporels et spatiaux – tout aussi présents dans 2001 – finissent par se rejoindre. [3] Comme l’Homme avait été précédemment créé à partir du singe. [4] Pour Stanley Kubrick, répétons-le, la violence est constitutive de la nature humaine. [5] Chacun est libre d’imaginer ce qu’il veut concernant le monolithe. On peut y voir Dieu – avec un indice absolu de transcendance – jusqu’à un simple objet envoyé par une espèce extraterrestre. C’est en tout cas – et on n’est pas loin de rejoindre l’idée hitchcockienne du macguffin – un efficace biais narratif. [6] Remarquons que, dans Ecce Homo 1888, Nietzsche dit que la gestation de son Ainsi parlait Zarathoustra lui a pris dix-huit mois il se compare alors à un éléphant femelle » soit le même temps que celui de la création du nouvel Homme dans 2001, L’Odyssée de l’espace. [7]Cette théorie concilie donc temporalité et éternité. [8] Le mot odyssée », présent dans le titre, renvoie lui-même à cette idée de quête, à la fois réelle et spirituelle, avec – pour finir – un retour au point de départ. [9] On remarquera d’ailleurs que l’échec pratique de programmes théoriquement parfaits – les programmes de défense nucléaire américain et soviétique dans Docteur Folamour 1964 ; HAL dans 2001, l’odyssée de l’espace ; le programme Ludovico dans Orange mécanique ; l’entraînement des marines dans Full metal jacket – est une constante des films de Stanley Kubrick.

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